J'ai appelé cette photo concentration...Elle est vraiment extrême.
samedi 27 février 2010
samedi 6 février 2010
Cet article est de Aziz Daouda Merci de le lire
Mes amis
Voilà quelques semaines notre pays est passé par une zone de turbulence assez grave sur le plan diplomatique. L‘affaire de la prétendue militante des droits de l’homme Aminatou Haidar a embarrassé toutes les chancelleries même celles très proches de la position marocaine dans l’affaire des provinces du sud. Notre pays a du faire des prouesses pour en sortir mais hélas y a laissé bien des plumes à en croire certains observateurs.
Durant cette bataille, car il s’est bien agit d’une bataille, le Polisario et son adepte, c’est de cela qu’il s’agit, a pris la position du petit Poucet que l’Ogre, en l’occurrence ici le Maroc, voulait écraser. Les « droits-de-l’hommiste » du monde entier n’attendaient que cela pour brandir à nouveau les thèses colonialistes et autres à l’encontre de notre pays.
Alors que l’on se plait tous à répéter que le Sahara est bien marocain et que ce ne sont que nos provinces du sud, l’étonnement et de relever l’amorphisme des partis politiques qui hormis leur communiqués rébarbatifs et quelques gesticulations par ci par là, ne volant pas haut par ailleurs, étaient plus qu'effacés et loin de jouer leur rôle de mobilisation des masses, mobilisation pourtant cruciale dans pareilles situations. La société civile n’était pas plus motivée, pour ne pas dire pas plus active, que les partis politiques. Les questions nationales ne mobilisent-elles plus les masses ? Depuis quelques années nous avions enregistré dans notre pays des marches fantastiques pour telles ou telles causes. Même convaincus que ces marches, pour certaines folkloriques, n’allaient avoir aucun effet, des millions de marocains étaient là à battre le pavé.
Sauf que voilà, une native de Tantan, une contrée bien marocaine pourtant, vient de nous défier tous, défier notre sentiment national, bafouer notre orgueil, renier notre souveraineté sur nos provinces du sud, humilier nos symboles les plus sacrés ; et pourtant, pas de marche, pas de réaction à la mesure des faits.
Les faits sont graves mes chers compatriotes. Est-il permis maintenant, au nom des droits de l’homme, de revendiquer l’indépendance de
La profondeur de la question et les répercussions qu’elle peut engendrer sur notre avenir et celui de nos enfants - car voilà une question qui risque de faire partie du legs que nous allons faire à nos enfants - font qu’une réaction pacifique, civilisée et marquante doit être entreprise au plus vite. Nous devons montrer au monde qu’être marocain, c’est d’abord respecter et aimer son pays. C’est aussi un droit des humains que d’aimer leur pays et de défendre son intégrité. Même si c’est une grève de la faim qui le menace.
Pour cela, je vous invite mes très chers compatriotes, hommes et femmes qui adorez votre pays, à une mobilisation générale durant la semaine du 1 au 8 mars 2010. Durant cette semaine où que vous soyez dans le monde, je vous invite à arborer un drapeau national : dans votre voiture, sur votre balcon, à vos fenêtres, sur votre bureau, dans vos magasins, à l’usine, partout où vous êtes. Partout ou vous êtes, je vous invite à envoyer un message à tous vos amis et contacts sur n’importe quel support social et de communication : « Le Sahara Occidental est marocain et le restera» accompagné d’un drapeau national marocain. Accompagnez vos messages sur Internet par un beau drapeau marocain durant toute la période.
Mobilisez vos amis au Maroc et dans le monde pour notre cause première. N’ayez pas peur, clamez haut votre fierté d’être marocain. Faites savoir que pour rien au monde vous n’êtes prêts à céder un iota de votre pays, celui que vos ancêtres vous ont légué et que vous allez à votre tour céder à vos enfants.
Rendez-vous, donc, du 1 au 8 mars pour notre mobilisation à tous. Le 8 mars est choisi pour sa symbolique car c’est une femme qui malmène nos sentiments, or la femme marocaine est bien plus que cela. N’a-t-elle pas été le pilier de notre lutte pour l’indépendance ?
Par cet acte civilisé mais ô combien significatif, c’est une autre marche verte que nous allons entreprendre tous ensemble, ne sommes nous pas dépositaires de Qassam Almassira ? Le monde entier doit savoir que nous sommes dans notre droit, tout simplement.
Aziz Daouda
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